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Chez Yuzma-Yuz, on entend souvent les mĂȘmes rĂ©actions quand on parle de notre mĂ©tier :
« Ah bon, vous ĂȘtes payé·e pour ça ? », « C’est pas un peu gĂȘnant d’interpeller des gens dans la rue ? », « Vous avez un quota Ă  faire ou quoi ? » 
Autant de prĂ©jugĂ©s persistants sur un mĂ©tier qui mĂ©rite mieux qu’un simple regard en coin.

Alors, on a dĂ©cidĂ© de faire simple : on a pris les 5 prĂ©jugĂ©s les plus rĂ©pandus, et on les a dĂ©minĂ©s un Ă  un. On t’invite Ă  lire l’article jusqu’au bout pour mieux comprendre pourquoi ce mĂ©tier est bien plus qu’un « job d’étĂ© engagé ».

Découvrez notre post LinkedIn au sujet des 5 préjugés sur le métier de Recruteur de donateurs.

💬 PrĂ©jugĂ© n°1 : « C’est un job de bĂ©nĂ©voles, non ? »

Faux.
Nos recruteur·rice·s sont salarié·e·s, formé·e·s, encadré·e·s et rémunéré·e·s.

👉 Être recruteur·rice de donateurs, c’est un vrai mĂ©tier. Avec un vrai salaire, une mutuelle, des fiches de paie et des droits comme tout le monde.


Et surtout : on est rĂ©munĂ©ré·e·s pour dĂ©fendre des combats qui nous tiennent Ă  cƓur. Le travail a du sens, et on le vit pleinement.

💹 PrĂ©jugĂ© n°2 : « Vous vous prenez des refus toute la journĂ©e, comment vous tenez ? »

C’est vrai qu’on entend souvent « non merci ».
Mais pour nous, chaque refus est un pas de plus vers un oui.
On apprend à garder le cap, à rester positif·ve, à rebondir.
Et surtout, on se rappelle que chaque nouvelle personne Ă  qui l’on parle est peut-ĂȘtre celle qui va dĂ©cider de s’engager.
C’est un mĂ©tier de conviction, pas de facilitĂ©.

💾 PrĂ©jugĂ© n°3 : « On ne sait jamais oĂč va l’argent des dons… »

Un classique. Et pourtant, totalement infondé.
Les ONG que nous représentons sont transparentes, auditées, et soumises à des obligations de traçabilité trÚs strictes.
Chaque euro versé par un donateur alimente des projets bien identifiés, accessibles dans les rapports annuels ou sur leurs sites.
Quand on recrute des donateur·rice·s, on ne vend pas une promesse floue : on invite à soutenir une action réelle, concrÚte, mesurable.

📈 PrĂ©jugĂ© n°4 : « Vous ĂȘtes payĂ©s Ă  la performance, non ? »

Pas chez nous.
Chez Yuzma-Yuz, la rémunération est 100 % fixe, dÚs le premier jour.
Pas de primes liées au nombre de dons, pas de pression commerciale.
Pourquoi ? Parce que notre prioritĂ©, c’est l’éthique : prendre le temps de la rencontre, respecter les passants, rester alignĂ© avec les valeurs des associations qu’on dĂ©fend.
On ne recrute pas Ă  tout prix. On recrute avec du sens.

🎓 PrĂ©jugĂ© n°5 : « Faut avoir fait des Ă©tudes pour faire ce boulot ? »

Pas du tout.
Ce qu’il faut, c’est de la motivation, de l’assurance, une bonne Ă©coute, et surtout l’envie de dĂ©fendre des enjeux essentiels face au grand public.
Pas besoin d’un CV long comme le bras. Ce mĂ©tier, c’est une affaire de motivation et de challenge.
Et une excellente école de vie.

🌍 Rejoindre Yuzma-Yuz, c’est choisir un mĂ©tier qui compte

Être recruteur·rice de donateur·rice·s, c’est choisir de mettre sa voix au service de celles et ceux qu’on n’entend pas assez.
C’est aussi intĂ©grer une Ă©quipe soudĂ©e, formĂ©e, accompagnĂ©e, qui agit dans un cadre Ă©thique, humain, et professionnel.

📍 Missions itinĂ©rantes en France & DOM-TOM
💾 RĂ©munĂ©ration fixe
đŸ‘„ Accompagnement de terrain
✊ Travail utile, vivant, formateur

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